02/04/2009
Automobiles à Sfax: le massacre continue!
Publié par Chokri YAICH à jeudi, avril 02, 2009 0 commentaires
Libellés : automobiles, infrastructure, routes, Sfax
20/12/2008
La Gare de Kech!
Publié par Chokri YAICH à samedi, décembre 20, 2008 0 commentaires
Libellés : Gare, infrastructure, Kech, Kes, Marrakech, Sfakes, Sfax
A Sfax: une Gare peut en cacher une autre!
Publié par Chokri YAICH à samedi, décembre 20, 2008 0 commentaires
Libellés : Garr, infrastructure férroviaire, Sfax, SNCFT
11/12/2008
Au moins 13 raisons pour faire de Sfax une destination touristique
Mercredi, 10 Décembre 2008
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Aquacity , premier parc aquatique à Sfax : le bilan !
Publié par Chokri YAICH à jeudi, décembre 11, 2008 0 commentaires
Libellés : Aquacity, aquatiques, jeux, loisirs, Sfax, tourisme
30/06/2008
Kèch et Kès: toute une histoire!
A mille ans d’histoire, Marrakech décida de contacter sa sœur Sfax, de plus d’un siècle son aînée.
Voici le dialogue tel que nous l’avons « entendu »... Lire la suite
Mardi, 24 Juin 2008
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Publié par Chokri YAICH à lundi, juin 30, 2008 0 commentaires
Libellés : borj, Chaffar, infrastructure, Marrakech, medina, médina, plages, riad, Sfax, souk, Taparura
17/04/2008
IAS ou « International Airport of Sfax »
A mon avis, c'est comme ça qu’on pourrait ajouter, dans une première étape, un peu de dynamisme à l'aéroport de Sfax et donc à la région..
27/03/2008
« SOS » ou Stade Olympique de Sfax
Cette semaine, la nouvelle à Sfax est de taille pour les sportifs, il s'agit de l’appel lancé pour la construction d’un nouveau stade de capacité de 30000 places… L’information reprise par plusieurs médias a fait vibrer beaucoup d’entre nous, même la maquette de ce stade couvert a été diffusé sur les forums..
Seulement pour la majorité exclusive des sportifs de la région, et comme vous pouvez le constater, dans les tribunes libres et les forums que cette capacité, relativement limitée, a fait «bosser pleins de claviers» et a donné un peu de grisaille à la fête !
Est-ce qu’on a tenu compte des matchs de très haut niveau et des compétitions arabes continentales ou internationales qui drainent un nombre impressionnant de spectateurs, que ce soit de la région, de Tunis ou autre région?
On peut admettre que la capacité de 30000 places est peut être suffisante pour certaines rencontres, mais voyez-vous, les grands stades sont généralement destinés aux moments forts, aux grandes compétitions. La majorité des stades n’affichent le plein total que périodiquement, voire épisodiquement comme El Menzah, Rades ou Sousse..
Par ailleurs, devant le tarissement des moyens financiers pour les équipes locales, ce sont les grands moments à Sfax (compétitions africaine, arabe ou locale de haut niveau) qui pourraient drainer beaucoup d'argent aux équipes locales...
Quand est ce que la caisse du CSS volera par ses propres ailes et ne dépendra ni de X ni de Y ? Devant le tarissement des ressources financières, qui va alimenter cette caisse si au moment des grandes rencontres, une partie des amateurs restera malheureusement dehors? Qui remplira cette caisse pour que le sport à Sfax décolle une fois pour toute et ne restera plus à la traîne des autres grandes équipes. Ces dernières ont tout intérêt pour que la compétition soit de très haut niveau et jouer face à une équipe en bonne santé.
Le sport est, de nos jours, synonyme de moyens, voire de grands moyens. Avec l’argent et la volonté, on peut construire, former les jeunes et concevoir de grandes écoles ou académies sportives : le plus bel exemple est donné dans notre propre pays. C’est avec l’argent qu’on peut choisir les meilleurs acteurs : joueurs, staff technique, médical et surtout on ne sera pas obligé de vendre les meilleurs.
30000 c'est peu... 60000 c'est peut être beaucoup, une capacité de 40000 ne ferait pas beaucoup de mal au budget du pourvoyeur, n'est ce pas !
Publié par Chokri YAICH à jeudi, mars 27, 2008 2 commentaires
Libellés : architecture, art, css, développement durable, kerkennah, Sfax, sport, srs, stade olympique
06/02/2008
Le plus gracieux spécimen...
Voici ma réaction
Le patron reviendra, émerveillé, envoûté, avec des idées «plein la poche» et dans la valise un nombre impressionnant de cadeaux souvenirs… Pour vous : je parie qu’il va vous offrir une lampe magique, décorée de motifs berbères gravés dans un métal cosmique rarissime. Vous n’aurez plus de «panne d’idée!», cette lampe va éclairer encore plus vos rêves… Vos chroniques, traduites dans plusieurs langues, vont faire le tour du monde. Tout ça c’est grâce à Marrakech, perle du désert, la majestueuse, la charmante, la souriante…
Pas très longtemps, tu étais une ville oubliée, poussiéreuse, des trous profonds comme des dolines. Pour passer le temps, on se contente, jus d’orange à la main, d’admirer avec étonnement les petits singes de l’Atlas sur les épaules, d’assister aux danses de Cobra au rythme du Bendir, Aoud Guenbri et Rebab au milieu de la fameuse place magique de Jemaa Efnaa. Maintenant, tu deviens la «ville-jardin», peut être la plus belle ville de la Méditerranée, en tout cas tu es la ville la plus sollicitée: des rues et boulevards extrêmement larges, des chaussées et des trottoirs impeccables et brillant de propreté, des jardins et parcs un peu partout.
Une Médina, complètement maquillée, où d'anciennes maisons (dans les ruelles) ont été transformées (sans casse) en hôtels de luxe : les fameux Riad… Une médina magnifique certes, mais sincèrement d’ossature pas plus belle que celle de Kairouan ou de la «légendaire médina» fatiguée que je ne citerai pas mais que vous reconnaîtrez et dont Charles Lallemand l’a décrivait déjà en 1892 comme « le plus gracieux spécimen des fortifications sarrasines ».
Chokri Yaich
Réaction à l'article : Quand le patron joue la fille de l'air …
18/01/2008
"Google Earth" & la vulgarisation du savoir
En voici seulement quelques exemples, mais pour me suivre, je vous invite à ouvrir en parallèle «Google Earth» : application que vous pouvez télécharger gratuitement sur le net et l’installer sur votre ordinateur ensuite "zoomez" sur la région de Sfax :
1- Le projet Taparura commence à prendre forme (espace à partir du port en allant vers le Nord de la ville). J’y suis allé sur le site même (lundi 22 octobre), les travaux de remblaiement ont déjà commencé, j’ai eu « le privilège » de marcher sur le sable coquiller de la future plage… mais le rendez-vous tant attendu sera au cours de l’été 2009, patientons un peu car c’est pour bientôt… Emu, je me suis rappelé ce jour là de la célèbre phrase d’Armstrong quand il a posé pour la première fois le pied sur la lune, il a dit : certes un petit pas sur la lune mais il s’agit d’un grand pas pour l’humanité.. Moi je dis que ce projet va nécessairement entraîner et ouvrir d’autres chantiers non moins importants en ville comme au sud de la ville, il est le point de départ et une vraie relance de la région dans cette grande course qui est le développement « de tout bord », en particulier d’ordre environnemental.
Coin sud de la nouvelle plage à sable coquiller (Situation du 24 février 2008)
2- Les Salines : ce sont ces grandes figures géométriques rectangulaires qui s’étendent le long de la frange côtière au Sud de la ville sur plusieurs kilomètres : un paysage unique où : sel, faune et flore se côtoient… Souhaitons que ces espaces s’ouvriront un jour au public et deviendront non seulement une attraction touristique mais aussi culturelle.
3- A 26 km plus au Sud, jetez un coup d’œil sur la plage de Chaffar avec ses deux grandes flèches sableuses de part et d’autres de l’embouchure de l’oued Chaffar [les deux «traînées blanchâtres» en mer].
L’ensemble « Plage face au village et les deux flèches » s’étend sur 8 km environ. Leur développement a été assuré sur plusieurs décennies par l’oued Chaffar qui apporte pendant les crues le sable nécessaire au maintien de la plage et au développement des flèches par le biais des courants de dérive littorale (courants parallèles à la côte générés par les vagues)... Tout de même, permettez-moi d’attirer l’attention des ingénieurs et les spécialistes concernées que la construction d’un éventuel « barrage » sur l’oued à l’amont (pour l’alimentation de la nappe phréatique surexploitée) pourrait nuire à moyen et à long terme au développement de tout ce système de plage, il pourrait provoquer l’arrêt des apports sableux vers la plage ce qui a pour conséquence de favoriser et d’accélérer les phénomènes érosifs et induire sur quelques décennies seulement la disparition complète de la plage « aux sables fins ».
Seulement... avant d'en arriver là, qu'est ce que vous en pensez d'une plage immense à la californienne et sur 8 km de long ? Il faut une vision globale et un aménagement intégré, autrement dit une bonne adéquation entre aménageur et un puissant investisseur....
Chokri Yaich
Publié par Chokri YAICH à vendredi, janvier 18, 2008 4 commentaires
Libellés : Chaffar, environnement, plages, salines, Sfax